mercredi 9 décembre 2009
Communiqué de presse de l'ADDICQ
Communiqué de presse du CRAN
lundi 7 décembre 2009
Injection de drogues : Superviser pour éviter les maladies [Source : src.ca]
dimanche 6 décembre 2009
Piqueries supervisées: Point de repères revient à la charge [Source : Le Soleil]
lundi 9 novembre 2009
Les travailleurs de rue de Québec « piqués au vif » [source : Le Soleil]
mardi 6 octobre 2009
Prochaine rencontre de la Coalition
La prochaine rencontre aura lieu le 3 novembre 2009 à 13 h 30 à Dopamine et sera consacrée en partie à la création du comité de coordination.
mardi 15 septembre 2009
Prochain BLITZ de récupération de seringues à la traîne
samedi 29 août 2009
Communiqué de presse du CRAN à propos de l'étude SALOME
MONTREAL, le 21 août /CNW Telbec/ - Pour faire suite à l'article de Marco Bélair, paru hier dans le journal Le Devoir (http://www.ledevoir.com/2009/08/20/263507.html), le Cran vient d'obtenir confirmation que le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec n'a finalement pas l'intention de financer le volet clinique du projet SALOME, seconde phase du projet de recherche sur le traitement de la dépendance avec prescription d'héroine (NAOMI).
Alors que nous attendions la confirmation de ce financement, nous sommes très surpris et déçu de ce revirement de dernière minute.
C'est au lendemain de la publication, dans le prestigieux New England Journal of Medecine, des résultats du projet NAOMI, que le MSSS à choisi de renverser sa décision, alors que cette publication met en évidence l'efficacité et la sécurité de la prescription d'héroine dans le traitement de cette dépendance. Nous ne pouvons que nous interroger sur le crédit accordé à l'évidence scientifique par le MSSS dans sa prise de décision, alors que, il y a un an, l'attente de la publication officielle des résultats de cette étude était invoquée pour justifier le non financement de la poursuite des activités de la clinique NAOMI de Montréal, à l'issue de l'expérimentation clinique.
Nous nous interrogeons par ailleurs sur la perception qu'a le MSSS des besoins en matière de santé de cette population hautement vulnérable et de l'impact d'une telle décision sur ces clientèles laissées à elle-même et sur leur entourage immédiat.
L'attaché de presse de la ministre déléguée au Services sociaux, qui représente le MSSS dans ce dossier, mentionne qu'il est préférable de consacrer la somme qui devait être alloué au financement de SALOME à des projets touchant un plus grand nombre de personnes. Comment accepter qu'une société développée comme la notre puisse renoncer à offrir à une partie de sa population un traitement dont l'efficacité est démontrée et fait consensus, sous prétexte que d'autres besoins existent.
S'il ne s'agissait pas du traitement de la dépendance aux opioides, qui touche un groupe de personnes faisant l'objet d'une importante stigmatisation sociale, mais de tout autre problème de santé, notre société serait-elle prête à accepter une telle décision ?
Si certains de nos concitoyens demeuraient insensibles à cet argument éthique, comment pourraient-ils être insensibles à un argument économique. En effet, la consommation non traitée d'opioides, tels que l'héroine, a un coût social très élevé pour notre société. Ce coût varie entre 45 000 et 67 500$ par personne au Canada. Or, si l'on exclu les coûts liés à la recherche, le coût du traitement de ces personnes avec un opioide de grade pharmaceutique est nettement moins élevé que les coûts générés par l'inaction.
Dans ce contexte, le Cran et ses partenaires sont fermement décidés à poursuivre leurs représentations pour que cette décision inattendue soit réévaluée et pour éviter que ce financement soit détourné au profit d'autres projets qui ne rejoindront pas ces clientèles qui nécessitent une intervention efficace et des soins médicaux adaptés qui sont parfaitement rentables pour la société québécoise.
Toutes les personnes ou organisation qui partagent notre point de vue et souhaitent apporter leur appui au projet SALOME sont invitées à communiquer avec nous ou à faire entendre leur voie auprès des représentants du MSSS.
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A propos du Cran
Pionnier et chef de file dans le domaine du traitement de la dépendance aux opioides avec une médication de substitution, le Cran a pour mission d'offrir des soins de santé personnalisés et multidisciplinaires, aux personnes dont la dépendance principale est l'héroine ou tout autre opioide.
Le Cran a assumé la responsabilité de la gestion clinique du projet NAOMI à Montréal de 2005 à 2008. Pour en savoir plus sur le Cran, nous vous invitons à visiter notre site internet à l'adresse www.cran.qc.ca.
Renseignements: Jean-Vincent Lacroix, AGC Communications, bureau: (514) 849-7000 #230, jvl@agccom.com ;
Source: Eric Fabrès, Responsable des communications au Cran, bureau: (514) 284-3426 #252, ericfabres@info-sam.qc.ca.
vendredi 14 août 2009
[National Post] Safe-injection sites on way, critics fear
Michael McKiernan, National Post
Published: Thursday, August 13, 2009
A city-sanctioned study is looking into the feasibility of Vancouver-style safe-injection sites in Toronto, but critics fear the study's support for such sites is a done deal.
The study, part of Toronto Public Health's drug strategy, comes as Vancouver's six-year-old InSite program faces increasing doubts over its own future. The federal government wants it shut and has appealed a 2008 B. C. Supreme Court ruling that allowed it to continue operating.
"It's getting pushed out of Vancouver and they want to move the problem somewhere else, but we don't want it here," said Rob Ford, city councillor for Etobicoke North. "My residents don't want it, I don't want it and I'll do everything in my power to stop it. Who's going to want to live in a community that's invaded every day and night by drug users?"
Although commissioned under the city's Toronto Drug Strategy, the funding for the study has come from the Ontario HIV Treatment Network, an independent nonprofit organization.
Mr. Ford led opponents of the controversial drug strategy when councillors passed it in December 2005.
"You don't condone and enable drug use -- it's illegal. How can you say you're helping people when you're enabling them?"
Article complet ici.
lundi 15 juin 2009
[Le Devoir] Un trou dans les nuages
Une multitude d'études soulignent les bénéfices d'InSite et de 70 sites similaires ailleurs dans le monde. Les toxicomanes qui les fréquentent acceptent plus volontiers des soins médicaux, se montrent plus disposés à suivre des traitements. La transmission de maladies est réduite, tout comme le nombre des seringues souillées qui sont abandonnées dans les lieux publics. Facteur plus important encore, plusieurs vies sont épargnées par une intervention rapide en cas de surdose, ce qui diminue d'autant les coûts de santé qui en découlent. À InSite, on a vécu environ 1000 surdoses depuis l'ouverture. Seulement 6 % ont exigé un transfert vers un hôpital et aucune personne n'en est morte, souligne M. Maynard.
mercredi 10 juin 2009
Prochaine réunion de la Coalition
Plus de détails à venir.
Bon été.
lundi 8 juin 2009
[Drug War Chronicle] Effort to Bring Safe Injection Facility to New York City Getting Underway
- No fatal overdoses at the SIF.
- No increase in local drug trafficking.
- No substantial increase in the rate of relapse into injection drug use.
- Reductions in public drug use, publicly discarded syringes and syringe sharing.
- SIF users 1.7 times more likely to enter detox programs.
- More than 2,000 referrals to counseling and other support services since opening.
- Collaboration with police to meet public health and public order objectives.
mardi 2 juin 2009
[AFP] L'Allemagne autorise la prescription médicale d'héroïne
lundi 25 mai 2009
[Article dans le Victoria Times] Give Out Free Crack Pipes, Says Victoria Councillor
mardi 19 mai 2009
Communiqué de presse de la Coalition réduction des méfaits
Dépôt de la pétition appuyant l’implantation des services d’injection supervisée (SIS) : une cause à l’Assemblée Nationale et un rassemblement à Montréal !
Nous refusons donc qu’un service qui vise la vie et la santé de citoyens devienne un enjeu moral et politique. Nous demandons que le ministre Yves Bolduc soutienne la mise en place des SIS comme cela est prévu dans le Programme national de santé publique.
Contacts :
- 30 -
mardi 12 mai 2009
19 mai 10h :: Rassemblement soulignant le dépôt des pétitions à l'Assemblée Nationale
Dans le cadre de la journée mondiale des hépatites, un rassemblement pour souligner le dépôt de la pétition en faveur des services d’injection supervisée aura lieu le mardi 19 mai à 10 heures au Carré Berri (Place Émilie-Gamelin). Un point de presse débutera à 10 h 30.
Quant au dépôt de la pétition, il se fera à l’Assemblée Nationale la journée même à 14 heures, par Martin Lemay, député du Parti Québécois.
Merci de diffuser ce message dans vos réseaux et de mobiliser le plus grand nombre de personnes possible.
Au plaisir de vous voir le 19 mai !
jeudi 30 avril 2009
mercredi 22 avril 2009
lundi 30 mars 2009
Prochaine rencontre de la Coalition réduction des méfaits
Jeudi le 16 avril 2009 à 9h30
Endroit: Méta d'Âme, 1710 Beaudry
Plus de détails à venir
Prière de confirmer votre présence au info@coalitionrdm.org.
jeudi 26 mars 2009
COMMENTAIRE: Scientific evidence mounts contradicting Conservatives' efforts against harm reduction
By M.J. Milloy and Evan Wood
In the wake of the release of a scathing report from international experts declaring their efforts to create a “drug free world” a failure, diplomats from 53 countries including Canada gathered in Vienna, Austria last weekend to plan the next campaign in the so-called war on drugs.
Officially assembled to review the United Nation’s progress towards its 1998 goal of a drug-free world within a decade, the envoys to the Commission on Narcotic Drugs were faced with inconvenient truths in the form of expert data showing that illicit drugs—including cocaine, heroin, and cannabis—are now cheaper and no harder to get despite the untold trillions of dollars spent on drug prohibition and demand reduction.
Spurred by increasing calls from AIDS and human rights groups and public health professionals, a group of 26 countries at the Vienna meeting split with official doctrine and demanded prohibitionist policies be bolstered by harm reduction, a public-health approach that prioritizes pragmatic interventions to reduce the likelihood of drug-related harms such as overdose or infection with HIV.
The efforts of the 26 countries—mostly from Europe and Latin America—to include explicit support for harm reduction in the final declaration were defeated by a group led by the United States, Russia, and Cuba. (Canada’s statement to the Vienna assembly called for, among other things, more drug treatment for young offenders and school-based programs to reduce drug consumption.)
The position of Canada’s diplomats is another result of Prime Minister Stephen Harper’s new anti-drugs policy, which is stripped of all mention of harm reduction, including needle exchange programs and medically-supervised injection facilities (SIFs), such as Vancouver’s Insite. Unfortunately, this stance is not only increasingly out of step with world opinion but, most importantly, inconsistent with the best available medical evidence on the interventions needed to address the global HIV/AIDS pandemic.
Once driven primarily by new cases resulting from sexual contact, the continued growth of the pandemic is now increasingly caused by the sharing of HIV-contaminated needles by individuals who use injection drugs. According to the United Nations Joint Programme on HIV/AIDS, one out of every three new cases outside of sub-Saharan Africa is the result of the use of HIV-contaminated needles. In some of the world’s fastest-spreading and least-controlled outbreaks, such as Eastern Europe and Russia, more than 80 percent of new HIV cases are among injection drug users...(suite)
M.J. Milloy is a research coordinator for the Urban Health Research Initiative at the British Columbia Centre for Excellence in HIV/AIDS and a doctoral student in the School of Population and Public Health at the University of British Columbia.
Evan Wood is an epidemiologist at the British Columbia Centre for Excellence in HIV/AIDS.
mardi 24 mars 2009
OPINION : Le silence sur la réduction des risques n’est pas acceptable
En 1998, l’Assemblée générale des Nations Unies a tenu une session spéciale sur le problème mondial de la drogue. A cette époque, le lien entre drogues et VIH était peu débattu. Aujourd’hui, on estime à 16 millions le nombre de consommateurs de drogues injectables dans le monde, dont 3 millions sont séropositifs. Tout débat portant sur les drogues ne peut ignorer les besoins et les droits humains de ces personnes.
Au fil des années, le problème du VIH chez les consommateurs de drogues (en particulier les consommateurs de drogues injectables) s’est accentué. Cependant, les actions menées à l’échelle mondiale ne se sont pas appuyées sur des preuves scientifiques et la réduction des risques a été largement ignorée.
Les programmes de réduction des risques incluent l’accès à du matériel d’injection stérile, à des traitements de substitution des opioïdes, à des préservatifs, à des traitements des IST, à une information sur la transmission du VIH par voie sexuelle et à des activités de proximité s’appuyant sur les communautés. Ce sont les moyens qui permettent de réduire le plus efficacement les comportements à risque en matière d’exposition au VIH. Ils évitent la transmission non seulement du VIH, mais également du virus de l’hépatite C et des autres virus véhiculés par le sang.
Les pays ont trop souvent adopté une approche unidimensionnelle basée sur la réduction de la demande ou de l’offre. Or, le mot « uniquement » n’a pas sa place dans les programmes de prévention, de traitement et de prise en charge médico-sociale du VIH. Il est également prouvé que les programmes axés « uniquement » sur un aspect du problème de la consommation de drogues ne produisent pas de bons résultats.
Les pays qui ont adopté une approche globale de la question du VIH et de la consommation de drogues ont enregistré un ralentissement, voire une diminution, de la propagation du VIH chez les consommateurs de drogues injectables. Parmi ces pays figurent l’Australie, le Royaume-Uni, la France, l’Italie, l’Espagne et le Brésil ; cela concerne également certaines grandes villes du Bangladesh, de la Fédération de Russie et d’Ukraine. Depuis quelques années, des pays comme l’Indonésie ou la Chine développent l’accès aux programmes de réduction des risques pour les consommateurs de drogues injectables.
Aucune conséquence négative imprévue, telle une augmentation de l’initiation aux drogues injectables ou de la durée et de la fréquence de la consommation de telles drogues, n’a été mise en évidence. Au contraire, les pays ayant adopté cette approche de la prévention du VIH fondée sur la santé publique auprès des consommateurs de drogues injectables enregistrent souvent les meilleurs résultats dans l’inversion du cours de l’épidémie.
Les effets largement bénéfiques des programmes de réduction des risques contrastent avec l’impact limité des approches uniquement répressives sur la réduction de la consommation de drogues et des crimes liés à cette consommation. En outre, ces approches vont souvent de pair avec de graves atteintes aux droits de l’homme et des résultats médiocres sur le plan sanitaire pour les consommateurs de drogues. Parmi ces violations des droits de l’homme figurent des arrestations arbitraires, des détentions prolongées, un fichage obligatoire des consommateurs, ainsi qu’un usage injustifié de la force et un harcèlement par les officiers de police. La possession et la distribution d’aiguilles et de seringues stériles constituent parfois une infraction aux lois sur les drogues et il arrive que les substituts des opioïdes soient classés parmi les substances illicites, alors que la méthadone et la buprénorphine figurent toutes deux dans la liste modèle des médicaments essentiels de l’OMS.
Ces mesures renforcent la stigmatisation des consommateurs de drogues injectables, dissuadent ces personnes de se tourner vers certains services (notamment pour des traitements de la dépendance ou du VIH) et peuvent engendrer des hésitations de la part des professionnels de la santé et du secteur social à proposer des services aux consommateurs de drogues. En revanche, lorsque les actions de répression et de santé publique vont de pair, les effets sont très positifs, à l’image des résultats obtenus en Grande Bretagne et en Australie, où la brigade des stupéfiants centre son travail sur la lutte contre le crime tout en dirigeant les consommateurs de drogues vers les services de santé et les services sociaux. Le temps est venu de collaborer et non pas de travailler les uns contre les autres.
Avoir accès à des aiguilles stériles ou à des traitements de substitution ne devrait pas être considéré comme un délit. Le problème de la drogue touche le monde entier et ne peut pas être résolu de manière isolée. Il est urgent que les organisations travaillant sur la lutte contre la drogue et sur le sida joignent leurs efforts. Grâce à cette collaboration, le monde aura plus de chances d’adopter des solutions susceptibles de sauver des vies.
Les pays dans lesquels on trouve le plus de consommateurs de drogues injectables séropositifs se situent en Europe orientale, en Asie de l’Est et du Sud-Est, ainsi qu’en Amérique latine. Dans ces régions, on estime à 40% la prévalence du VIH dans certaines populations. De nouvelles épidémies liées à l’injection de drogues sont également en train d’apparaître en Afrique subsaharienne. Dès qu’une personne est contaminée par le VIH dans une population de consommateurs de drogues injectables, le virus peut se propager très rapidement. Des prévalences du VIH passant de 5% à 50% ont été observées parmi des consommateurs de drogues injectables dans certains environnements ; le VIH peut en outre être transmis par ces personnes à leurs partenaires sexuels ou à d’autres populations plus exposées au risque de contamination.
lundi 23 mars 2009
Plus de 500 000 seringues usagées rapportées à la Ville d’Ottawa en 2008
mercredi 18 mars 2009
Blitz de signatures pour la pétition en faveur des services d'injection supervisée
jeudi 12 mars 2009
Émission spéciale sur InSite
mardi 3 mars 2009
Date de remise pour la pétition: 3 avril 2009
La pétition est disponible ici (appui général).
Des documents pour les appuis d'organismes et pour les personnalités sont aussi disponibles.
Voici des suggestions de lecture sur le sujet (documents préparés par l'AITQ) :
Questions et réponses au sujet des services d'injection supervisée
Autres documents sur les lieux d'injection supervisés.
«--»
CONSIDÉRANT QUE les services d’injection sous supervision médicale constituent un service de santé qui s’inscrit dans un continuum de soins s’adressant à la population utilisatrice de drogues par injection ;
CONSIDÉRANT QUE ce service est déjà inscrit dans le programme national de santé publique du Québec ;
CONSIDÉRANT QUE de grandes institutions médicales comme l’Organisation Mondiale de la Santé et l’Association Médicale Canadienne recommandent l’implantation de ce type de service ;
CONSIDÉRANT QUE selon une étude de l’Institut Nationale de Santé Publique du Québec, la population est majoritairement en appui à de tels services lorsqu’on lui explique que cela peut diminuer le nombre de surdose, la propagation de virus comme le VIH et l’hépatite C ainsi que les seringues à la traîne ;
CONSIDÉRANT QUE cet enjeu en est un de santé publique et non de moralité.
Nous demandons à l’Assemblée Nationale de soutenir la mise en place d’un service d’injection sous supervision médicale.
Prochaine rencontre de la Coalition Réduction des méfaits
Mardi le 17 mars 2009 à 10h
Endroit: Méta d'Âme, 1710 Beaudry
Prière de confirmer votre présence au info@coalitionrdm.org.
jeudi 19 février 2009
Le Health Officers Council de la Colombie-Britannique prend position pour le développement des services d'injection supervisés.
mardi 17 février 2009
Clinique d'héroïne à Montréal: le quartier reste sécuritaire [source: cyberpresse.ca]
jeudi 22 janvier 2009
La Coalition réduction des méfaits s'agrandit
- Accueil Bonneau
- AIDS Community Care Montréal (ACCM)
- Association des intervenants en toxicomanie du Québec (AITQ)
- Bureau de consultation jeunesse (BCJ)
- Centre associatif polyalent d'aide hépatite C (CAPAHC)
- Dans la rue
- Dîners Saint-Louis / Ketch Café
- Fondation d'aide directe - SIDA Montréal
- GEIPSI
- Méta d'Âme
- Médecins du monde Canada - projet Montréal
- Points de repères
- Refuge des jeunes de Montréal
- RIOCM
- Sidalys
- Stella, l'amie de Maimie.