vendredi 14 mai 2010
Dernière rencontre de la Coalition avant la pause estivale
La prochaine rencontre de la Coalition aura lieu le jeudi 20 mai 2010 de 13 h 30 à 15 h 30 au GRIP Montréal, 1212, boul. Saint-Joseph Est. L’ordre du jour et le PV suivront par courriel.
jeudi 13 mai 2010
Cinq idées à importer de Vancouver pour stimuler Montréal [Journal Metro]
Il y a quelques semaines, un article paru dans le journal Metro et portant sur l'organisation urbaine accordait une place importante aux sites d'injection supervisée.
MATHIAS MARCHALL'article complet se retrouve ici : http://www.journalmetro.com/linfo/article/496516--cinq-idees-a-importer-de-vancouver-pour-stimuler-montreal--page0.
MÉTRO
06 avril 2010 22:45
En se rendant à Vancouver pendant les Jeux olympiques, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, avait indiqué qu’il allait en profiter pour s’informer des initiatives vancouvéroises qui marchent en matière de transport en commun, d’urbanisme et de fiscalité. En voici cinq qui mériteraient d’être étudiées d’après notre journaliste, Mathias Marchal, qui revient de Vancouver.
1. Trolleybus avec porte-vélos: Vive le cocktail transports!
2. Des taxis hybrides
3. Aquabus, pour désengorgerles ponts
4. L’injection supervisée pour les toxicos
5. Revoir l’urbanisme pour dynamiser le centre-ville
Situé en plein cœur du centre-ville, le centre InSite permet depuis 2003 à environ 500 toxicomanes par jour de venir s’injecter leur drogue à l’intérieur de l’édifice, dans un objectif de réduction des méfaits (seringues qui traînent, morts par surdose…). Ils sont supervisés par des infirmières et des intervenants communautaires qui disposent aussi de chambres de sevrage pour ceux qui veulent s’en sortir.
L’endroit, que les conservateurs aimeraient bien fermer et dont certains observateurs estiment qu’il n’a pas changé grand-chose, fait néanmoins l’envie de plusieurs intervenants en toxicomanie montréalais. Ils peinent à convaincre les autorités. «Si, d’un côté scientifique, il est prouvé que c’est nécessaire, ce genre de centre ne fait pas gagner des élections», déclare Jean-Sébastien Fallu, de la Coalition réduction des méfaits.
Le groupe auquel il participe compte bien obtenir les fonds prévus pour une étude de faisabilité, mais un centre qui drainerait tous les toxicomanes au même endroit n’est pas forcément l’option envisagée, la répartition des 20 000 toxicomanes montréalais étant plus diffuse.
lundi 3 mai 2010
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